La Grèce – Juin 2007

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Cette fois, ce sera « Les Cyclades » et plus particulièrement Paros et Naxos, deux superbes iles. Le choix de ces îles s’est fait assez naturellement car ce sont deux îles « pas trop touristiques » et facilement joignable en ferry. Cette fois, c’est l’aventure, les « hôtels/studio/chambre » ont été débusqués sur internet suite à de nombreuses heures de recherche…Je me rends vite compte que cette phase d’organisation est de ma responsabilité.

L’objectif de ce voyage est de partir dans la nature, sur les traces de l’Antiquité grecque. Et, bien entendu, d’assouvir la soif de photographie de Stéphane qui y étrennera son nouvel appareil Reflex.

Nous arrivons sur « notre » première ile à 22h, il fait nuit et ne verrons donc pas grand-chose. Notre premier matin, au soleil, est époustouflant, tout est blanc et bleu, tout est beau et bien que nous ne parlons pas grec, tout le monde est accueillant. Nous rencontrons même un groupe de belge en visite guidée au musée : « vous comprenez le français ? » et profitons des explications sur les gorgones et autres bêtes mythologiques. Sur Paros, peu de touristes, beaucoup de marbre (même sur les bordures de trottoirs), et de superbes poissons proches des plages désertes. La nature est omniprésente dès lors que l’on sort de la « ville ». Sur Paros, nous utilisons beaucoup le bus, et nos pieds !

La suite de nos vacances se passe sur l’ile de Naxos. Sur cette île, nous explorons les chemins détournés avec…un Quad. Le choix du quad, et non de scooter, s’avère salutaire compte tenu de l’état des routes. Nous faisons connaissance avec les Gravel Roads que nous retrouverons en Nouvelle-Zélande.

A la recherche de la grotte de Zeus ou du temple de Demeter, nous profitons de la campagne, des lézards et bien entendu de la mer. Tout est toujours très blanc, blanc et bleu, et nous découvrons des églises dans les lieux les plus improbables. Les ânes et les chèvres sont en libertés, les oliviers poussent à flan de colline et nous sommes seuls au monde. Nous en profitons énormément, d’autant plus que nous savons déjà que nous ne pourrons pas partir en 2008, pour cause de stage de fin d’étude.

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